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Récemment...06/2015

 

Ouvrir sa porte d’un simple geste de la main, c’est le rêve de tous ceux qui se pressent aux "implant parties". Des rassemblements où l’on se fait insérer des puces électroniques sous la peau. Le premier du genre se tient ce soir à Paris.

 

Pas de musique ni d’alcool dans les « implant parties » mais des seringues et des champs stériles ! Car dans ce nouveau type de soirée, le but n’est pas de s’amuser mais de se faire insérer sous la peau… une puce électronique permettant ensuite d'ouvrir sa porte ou de déverrouiller son smartphone d’un simple geste de la main. Le festival Futur en Seine organise le premier événement de ce type ce samedi 13 juin à 19h00 à la Gaîté lyrique.

Tout a commencé il y a huit mois en Suède. Hannes Sjöblad, transhumaniste et porte-parole de l’Université de la Singularité dans son pays, découvre sur le site de crowdfunding Indiegogo un nouveau type de puce sous-cutanée fonctionnant avec la technologie NFC. Â« Je ne suis ni pour ni contre l'implant d'électronique mais j'avais envie de comprendre comment ça fonctionne. Et je me suis dit : pourquoi ne pas essayer ? », explique Hannes Sjöblad.

 

Implanter une puce n'est pas nouveau. On le fait depuis longtemps sur des animaux pour les identifier. Et c'est une pratique de plus en plus en vogue depuis une dizaine d'années dans la petite communauté des biohackers. C'est le cas notamment du célèbre Britannique Kewin Warwick, professeur de cynernétique à l'Université de Reading. Sauf que jusqu'à maintenant, il s'agissait de puces RFID. Le NFC change la donne en élargissant le champ des possibles. 

 

Mais surtout, le jeune Suédois a l’idée d’en faire un événement collectif. Dans la foulée, il fonde l'association à but non lucratif Bionyfiken. Si Hannes y consacre tout son temps libre, il ne prétend pas diriger un mouvement.« J'ai organisé une vingtaine de soirées dans le monde en six mois où environ 300 personnes ont du recevoir des implants. Mais cela a inspiré d'autres initiatives sur le même modèle sans nous, ailleurs, et c'est tant mieux ».

 

La pratique encadrée et collective serait avantageuse. Â« C'est comme le piercing. A partir du moment où l’on fait un trou dans la peau, il y a un risque d’infection. Donc mieux vaut faire faire ça par des professionnels plutôt que tout seul chez soi dans sa cuisine », souligne-t-il. Â« L’autre intérêt est de pouvoir échanger et d’apprendre à connaitre cette technologie avec d'autres. On forme une véritable communauté. Il y a des comptes twitter, des groupes Facebook et de nombreux sites internet qui y sont consacrés ».

La pose de l'implant est simplissime. Vous posez votre main sur un champ opératoire stérile et une personne habilitée vous désinfecte le dos de la main. Après une légère anesthésie locale, elle vous glisse la puce sous la peau grâce à une seringue hypodhermique. D'après Hannes, on ressent une légère douleur quelques secondes seulement, avant d'oublier totalement la présence de l'appareil.

 

Voir un exemple d'implant party en vidéo (attention aux âmes sensibles) :

« L'implant mesure la taille d’un grain de riz et est encapsulé dans une couche de verre hermétique, elle-même recouverte de plastique. » Aucun rejet ni aucune allergie n'auraient été constatés à ce jour. En théorie, ce dispositif pourrait être conservé pendant plusieurs dizaines d'années. Mais ceux qui les portent ne souhaitent pas conserver un produit obsolète et compte bien en changer dès qu'une nouvelle technologie sera disponible.

 

La puce n'a pas besoin d'être programmée ni alimentée par une source d'énergie extérieure pour fonctionner. Elle renferme un circuit électronique avec une antenne qui utilise le champ magnétique et le convertit en courant. Ce qui permet d'émettre en permanence un signal. Ensuite, tout fonctionne comme avec un banal badge magnétique.

Le dispositif va émettre des radiofréquences qui vont activer les marqueurs d'un lecteur également équipé d'une puce. Il suffit de placer sa main devant un appareil pour déclencher automatiquement son dévérouillage.

 

Hannes Söjblad sait que son concept suscite des inquiétudes et pose des questions éthiques. Mais le débat, c'est justement ce qu'il a envie de provoquer et particulièrement à Paris où l'intérêt grandit, selon lui, pour ce genre de pratique.

 

 

 

 

 

Pétition lancée pour le retrait des livres djihadistes des hypermarchés Carrefour

 

 7 JUILLET 2014 • ( 27 )

 

Dans les hypermarchés Carrefour ( Sartrouville, Montigny-les-Cormeilles) sont proposés à la vente des livres de Charia (loi islamique) notamment La Voie du Musulman (éditions Al Bouraq) du…

 

…cheikh saoudien Abu Bakr al Jazairi prescrivant un Jihâd armé offensif global afin d’imposer l’islam dans le monde. Ce même livre interdit de construire des églises dans la "terre d’islam", préconise de tuer les apostats. D’autres ouvrages référencés comme "Les 40 Hadith" de l’imâm Nawawi permet de verser le sang du musulman qui renierait sa foi (apostasie).

 

Ce même juriste sunnite du XIIIème siècle intime dans un autre livre vendu chez Carrefour (Le Jardin des Saints) de "parcourir le monde pour combattre pour la cause de Dieu" "pour que la parole de Dieu soit la plus élevée". Dans ce même ouvrage, l’esclave "a interdiction de quitter son maître sans son autorisation" (sic).Etc. etc.

 

En tant que groupe de distribution influençant les achats des millions de consommateurs dans de nombreux pays, le Groupe Carrefour a un impact social qui devrait l’amener à s’efforcer d’être plus vigilant, à définir une charte des valeurs concourrant à la préservation du Bien commun.

 

Pour des raisons évidentes, alors que les groupes djihadistes au Proche-Orient, en Afrique, aux Philippines et en Thaïlande connaissent un regain d’activité se traduisant par la persécution de milliers de civils chrétiens à cause de la lecture de ces mêmes ouvrages vendus chez Carrefour, nous demandons le retrait des ouvrages musulmans référencés.

Nous devons savoir ....

Brian Ferry March 2012

 

Dans la foulée du mariage homosexuel, les médias qui font l’opinion poussent maintenant pour le transgenre – à l’image du Time, qui titre « Transgenre – le point de bascule Â».

Titre explicité dans l’édito, qui explique que, comme l’homosexualité, le transgenre fait désormais partie des choses normales et acceptées par la société américaine, ces choses qui n’ont plus besoin de se cacher, bref, la nouvelle norme. Sur fond de photo glamour de la nouvelle star transgenre d’une série TV.

Une nouvelle étape décisive, « un pas de géant pour l’humanité Â», se réjouit un autre site, dans cette nouvelle « lutte pour les droits civiques », en Amérique et ailleurs.

Il faut savoir que cette idéologie est portée activement par des groupes de pression fortunés et très influents au sein des organismes internationaux (ONU, Organisation Mondiale de la Santé, Parlement Européen etc), ainsi  qu’au niveau de nombreux gouvernements européens – on l’a vu en France, depuis qu’ont été révélés les « ABC de l’égalité Â» du ministère de l’Education Nationale.

Un combat très actuel, que les chrétiens ne doivent pas ignorer.

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